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    La liberté

     

     

    La liberté

    C est des ailes qui me poussent

    La liberté

    C est un parfum qui m envoûte

    La liberté

    C est le pouvoir de dire non

    La liberté

    C est mon amitié sans façon

    La liberté

    C est ma manière d écrire

    La liberté

    C est de pouvoir sourire

    La liberté

    C est aimer sans compter

    La liberté

    C est un champs de fleurs

    La liberté

    C est mon cœur qui palpite

    La liberté

    Ne s obtient pas avec du lsd

    La liberté

    C est un long combat

    La liberté

    Ce sont les chaines qui se brisent

     

                                                     

     

                                                                       Jean pierre

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  • La dernière

     

     

    Cette fois c est fini

    Au milieu de la nuit

    Le silence est venu

    Sur une aube moins grise

     

    Les canons se sont tus

    La guerre c’était hier

    Déclenchée par des hommes

    Qui aujourd’hui s avouent vaincus

     

    Ils ont décrètes, ils ont signes

    Crie bien fort, la der des der

    Retour a la raison

    Maitrisons nos pulsions

     

    Pendant ce temps, les familles endeuillées

    De ceux partis un jour

    Pour ne jamais revenir

    Pleurent les morts, a jamais disparus

     

    La vie s eveille, reprend son cours

    La ou elle s était arrêtée

    Le commerce est au mieux

    Au grand bonheur des ménagères

     

    Puis tout redevient instable

    A nouveau les choses se dégradent

    Et de nouveau, les canons vont tonner

    A l infini, a l infini, a l infini

     

    L homme ne sait tirer leçon

    De ses erreurs passées

    Trop d orgueil, de vanité

    Dans cet animal la

     

     

    Jean pierre

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  •  

     

     

     

     

    Je suis

     

    Je suis tristesse

    Je suis bonheur

    Je suis bien être

    Je suis douleur

    Je suis détresse

    Je suis douceur

    Je suis ce que je suis

    Je suis ce que tu fais de moi

    Je suis ta vie

    Aime-moi

                                    Jean pierre

     

     

                                   

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  • Il était une fois le slow

     

    La place est désertée, le grand abri est sans vie, vieux cinéma d autrefois

    Qui chaque dimanche après midi, pour quelques heures reprend vie

    La même ou enfant nous allions voir blanche neige, la belle au bois dormant

    Plus de sièges en bois, le rideau et l écran, eux aussi disparus, passes au rebut

    C est maintenant salle de bal, la «  boom » pour  adolescents que nous fumes

     

    Les « meules » arrivent par grappe, sont rangées côte à côte sous le vieil abri

    Les moteurs trafiqués, surchauffés claquent en refroidissant lentement

    Ça sent l’huile et l’essence, les rebelles sont à la fête aujourd’hui

    Les bandes de jeunes, perfecto pour les plus nantis, Westons aux pieds

    Blousons de sky et chemises collants aux corps, col pelle à tarte relevé sur la nuque

     

    Ils sont venus de tous les villages alentours, ils fréquentent les mêmes écoles

    Hormis quelques inconnus, roulant des mécaniques, sûr, des durs de durs

    Les filles toutes plus belles les unes que les autres, il est difficile de choisir

    Se parlent à voix basse, roulent des yeux faisant probablement déjà leur choix

    Tout ce petit monde se dirige vers l entrée, les choses sérieuses vont commencer

     

    Une fois le mythique tampon apposé au poignet, c’est un autre monde qui apparait

    Tout est flou, boules a facettes, spots et projecteurs, font jaillir mille couleurs

    Dansantes, fuyantes au son de la musique des grandes années rock et disco

    Tous sont en transe, se déhanchent sur la piste, odeur de parfum, relents de sueur

    Ils se lachent, se dépensent, oubliant pour un temps, toutes ces heures de cours

     

    Puis ça s’assombrit, éclats de lumière sur des chemises d une blancheur immaculé

    Les ombres glissent vers la piste, fusionnent deux par deux, les corps bien serrés

    Une fumée monte du sol, atmosphere, irreelle, magique, surnaturelle, sensuelle

    J invite ma partenaire, nous nous joignons a la nuée, la piste est bondée

    Voici venu le moment de nous retrouver, le slow va commencer, intimité

     

    La musique est doucereuse, nonchalante, la voix de Jagger nous chante “Angie “

    Sa tète au creux de mon epaule, son souffle chaud dans mon cou, tétanisé

    Tout en maladresse j ose, mes mains caressent sa longue chevelure de jais

    En reponse, je ressens une douce chaleur dans la nuque, ses doigts s y posent

    Desir, attirance, ensemble, nous venons de découvrir quelque chose

     

    Le baiser dura longtemps,nous semble t il plus que le temps d une chanson

    Revenu a nous, tendrement enlaces, a «Angie » avait fait place a « l été indien »

    Un dimanche extraordinaire, deux adolescents ordinaires, une idylle est née

    Que reste t il aujourd’hui, de tous ces flirts d’hier, des souvenirs flous d’ autres clairs

    Des amours d adolescense, encore des gosses, qui se cherchent, moments de tendresse

    C était bien c’ était « il était une fois le slow », c était nos années soixante dix

     

    A vous qui lirez ceci : laissez vous de temps en temps aller à la reverie, faites remonter en couleur Vos souvenirs d’hier

     

                                                                               Jean pierre  20/02/2014

     

     

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                                     homme

     

     

    Homme, être de ce monde

    Souviens toi qui tu es

    Souviens-toi d ou tu viens

    En es tu encore capable

     

    Homme, habitant de cette terre

    Ce caillou, cette mère nourricière

    Isolé, seul dans cette immense galaxie

    Réchauffé par ce soleil, source de vie

     

    Homme, être de chair

    N as-tu pas honte de ta manière de faire

    Ta fâcheuse manie

    De tout détruire ,de tout défaire

     

    Homme ,fils de la terre

    Tu continus à enfanter,procréer

    Sans vraiment te soucier

    De ce que tu laisseras demain

     

    Homme, grain de poussière

    Réagis, fais marche arrière

    Sois plus terre à terre

    Ce monde est ton jardin

     

    Homme, fils de la mer

    Tu t’es égaré en chemin

    Reprend toi, ressaisis toi, lorsqu’il sera trop tard

    Il n y aura personne pour te sauver

     

    Homme, toi le grand mystère

    L avenir de ce monde t appartient

    Tout est entre tes mains

    Sauras-tu trouver le bon chemin

     

    Jean pierre

     

     

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