• Désert

     

     

    C est ici que tout a commencé

    C est la que je suis apparu

    Le soleil et le sable en sont témoins

    De mon arrivée dans ce monde de dunes

    Ce désert est ma vie, sera aussi ma mort

    De cet endroit, je me sens roi

    Je suis un nomade, sans doute un peu sauvage

    Mes yeux sont clairs, ma peau tannée

    La main sur le cœur, ou les bras tendus

    Toujours prêt à donner hospitalité

    Je voyage à dos de chameau

    Je ne vis de presque rien

    Car je n ai que très peu de besoins

    De juste un peu d eau claire et limpide

    Pour ma survie et celle des animaux

    D un oasis de verdure, pour assurer repos

    Y faire son lit pour la nuit venue

    Sous d épaisses couvertures, contempler l immensité

    Mon sommeil est celui du juste, paisible

    Loin de la furie de ce monde

    Qui court, qui court, qui court

    Fonce tout droit vers je ne sais quoi

    Moi je suis la dans mon désert

    Je me sens comme un de ses grains de sable

    Parmi ses dunes en perpétuel mouvement

    Ici je suis bien, je suis parmi les miens

     

    Jean pierre

     

     

     

    Partager via Gmail Yahoo! Blogmarks

    votre commentaire
  • Cette année la

     

     

    Marchant sur le bord de la route

    Bras tendu, pouce vers le haut

    Prêt pour un week end d aventures

    Fou,fou,jusqu a la démesure

     

    Je me suis retrouve plante la

    La ou la terre prend fin

    Face au bleu de l océan

    En face la bas, l Amérique je crois

     

    Je me suis aventure vers ce bar

    Une force ma pousse à y entrer

    Et la, plus question de démesure

    Car dans un coin la, il y avait toi

     

    C était Joe dassin, c était l été indien

    Derrière l amour il y avait Johnny Hallyday

    C était juillet était mes dix sept ans

    C était la canicule était soixante seize

     

    J ai vu tes yeux, tes yeux couleur océan

    Tes cheveux si longs, si blonds

    Mon cœur a vacille, comme foudroyé

    Tétanisé, ne pouvant plus bouger

     

    Etait ce un reve, ou douce réalité

    Etait ce un mirage, ou bien un miracle

    Une chose est sure je ne peux nier

    Tout de suite je t ai aime

     

    Cet été la, ce n était que toi et moi

    Se raconter, se découvrir, se caresser

    Ce ne fut pas un simple amour d été

    Car septembre venu, rien ne put nous séparer

     

    Depuis ce bel été, nos tendres années

    Bien des septembres sont passes

    Bien des orages, bien des naufrages

    Nous avons ensembles surmontes

    Pour aujourd’hui, continuer de s aimer

     

     

    Jean pierre

    Partager via Gmail Yahoo! Blogmarks

    votre commentaire
  • Partager via Gmail Yahoo! Blogmarks

    votre commentaire
  • Partager via Gmail Yahoo! Blogmarks

    votre commentaire
  • Partager via Gmail Yahoo! Blogmarks

    votre commentaire